Mfpuce sort en club libertin (épisode 2)

Les deux couples d’amis avec lesquels nous avions l’habitude de sortir en club étaient assis en face de moi. Les deux épouses avaient entrepris de sucer leurs maris, tout excités qu’ils étaient du spectacle que je venais de donner. Les deux hommes, assis l’un à côté de l’autre, me regardaient fixement, en souriant, pendant que leurs femmes, peu expertes en la matière, les suçaient sans grande passion. Mes deux copines sont très jalouses et possessives et ne veulent pas partager leurs mecs. Aussi quand elles viennent en club, elles se donnent à de nombreux inconnus mais leurs maris ont juste le droit de regarder ou de participer. Jamais elles ne tolèrent qu’ils baisent d’autres femmes.
En regardant mes deux amis droit dans les yeux, j’ai soudainement eu de nouveau très chaud, comme si un feu brulait en moi. Ne supportant plus ma robe, je l’ai très rapidement enlevée tant le contact du tissu sur ma peau était devenu insupportable. J’étais nue en talons hauts, mon corps en feu, ma chatte et mes seins avides de caresses et de sexe. J’ai vite entrepris de saisir le sexe de mon mari mais il n’était pas encore remis de ce qu’il venait de donner quelques minutes auparavant. Me retournant, j’ai vu les deux sexes de mes deux amis dans les bouches de leurs femmes, juste en face de moi, et j’ai compris que c’était ma seule et unique porte de sortie pour assouvir mon envie de sexe. Je me suis levée, j’ai écarté assez violemment mes deux amies et j’ai saisi les deux queues bien raides que j’ai vite avalées goulûment l’une après l’autre, avec une ardeur bien différente de celle de leurs femmes. Jalouses, elles m’ont traité de pute, de salope, de trainée, mais je ne me serai arrêté pour rien au monde. Elles ont alors essayé de m’empêcher de continuer en m’attrapant par les épaules mais je les ai brutalement écartées. Un ami a vite explosé dans ma bouche tellement il était excité ! N’en pouvant plus je me suis empalée sur le sexe dressé de l’autre et je l’ai baisé frénétiquement. Mes deux anciens amants du soir se sont joints à nous me caressant les seins, le clitoris et mon petit anus pour m’apporter plus de plaisir. J’ai vite joui et mon amant aussi en moi. Mes deux hommes d’un soir m’ont nettoyé le sperme que j’avais autour de la bouche et du sexe. Ensuite je suis allée me refaire une beauté, totalement nue, dans la salle de bain réservée aux femmes, traversant une partie de la boîte en tenue d’Eve, je n’aime pas être souillée lorsque je fais l’amour et comme mon envie de sexe n’était pas assouvie, je me devais de me nettoyer.
Sortant de la salle de bain, je me dirigeais vers notre table en passant près du bar et de mes trois mecs trop entreprenants. Me voyant dans le plus simple appareil, ils m’ont attrapé par les hanches posant leurs six mains partout sur mon corps, me malaxant les seins, fouillant mon sexe, pétrissant mes fesses. Ils devenaient de plus en plus violents dans leurs gestes. J’essayais de me dégager mais je n’y parvins pas. C’est alors que mes deux amies se sont jetées sur moi, me soustrayant à ces trois brutes. Je pouvais voir, dans le regard de mes copines, la colère voire la haine. Elles m’ont rapidement attaché les deux mains avec des menottes, très utiles en club, m’ont trainée vers la barre de pole dance qui se trouve sur la piste de danse et m’ont attachée à la barre les mains haut levées. « Ah ! Tu as osé baiser nos mecs devant nous et bien maintenant, petite pute, tu vas te faire baiser par tous les mecs de cette boîte et c’est tout ce que tu mérites ! » m’ont-elles dit alors. Avant de me laisser ainsi offerte à toutes et tous, elles m’ont attachées les chevilles à une très large barre d’écartement, les jambes grand-écartées. J’étais ainsi exposée, le sexe largement ouvert devant la boîte entière, sans défense, les mains attachées à la barre, les chevilles menottées, à la merci de tous ceux qui voudraient profiter de moi. Mais paradoxalement cette idée m’excitait énormément et je ne fus pas du tout effrayée de ce qui allait pouvoir m’arriver. Au contraire, j’attendais avec beaucoup d’impatience le sort qui allait m’être réservé.
Je pouvais voir les clients du club sur la piste qui me regardaient tous sans exception, ainsi offerte !
Un jeune couple, la trentaine maximum, s’est rapproché de moi, lui grand sportif et plutôt mignon, elle magnifique avec de longs cheveux blonds. Je ne les avais jamais vus à l’Overside. La fille commença à m’embrasser passionnément tout en me caressant les seins, c’était exquis. Pendant ce temps son compagnon entreprit de me lécher la chatte avec beaucoup de dextérité. Je ne pouvais pas le voir mais je sentais sa langue chaude et humide alterner des petits coups rapides sur mon clitoris et ensuite s’immiscer plus profondément en moi, elle remontait régulièrement sur mon anus où elle parvenait à se frayer un chemin vers l’intérieur tant mes précédentes aventures en avaient dilaté l’entrée. C’était divin. La fille, qui me dit s’appeler Valérie, me demanda alors à l’oreille si son mari pouvait aller plus loin et me baiser car il me trouvait canon. Il en avait eu envie depuis qu’il m’avait vue me faire malmener, nue, par les trois gars du bar. Ils n’étaient pas encore arrivés lors de mes précédents ébats sexuels. Je ne répondis même pas tant mon regard semblait dire oui. La jolie blonde enfila un préservatif sur la grosse queue bien dressée de son époux et il me pénétra aussitôt, elle se mit entre mes jambes et entreprit de me sucer le clitoris avec frénésie pendant que son mari m’assenait des coups de boutoir, elle glissa également deux ou trois doigts dans ma chatte déjà bien remplie par le sexe de son homme et me branla avec autant de fougue que son homme mettait à me pilonner. Je n’en pouvais, le plaisir était trop intense, je jouis violemment. Valérie m’embrassa de nouveau avec passion et me demanda si son mari pouvait changer d’orifice, là je ne pus retenir un « oui » de soulagement tant ses aller-retours commençaient à m’épuiser. J’eus quelques secondes de répit avant qu’il ne reprenne son travail de démolition dans mon anus. Toute les clientes et clients du club me voyaient ainsi me faire sodomiser en plein milieu de la piste, les mains attachées à la barre de pole dance, une femme entre les jambes me masturbant et me léchant la chatte. Je jouis une nouvelle fois et mon étalon, n’en pouvant plus, éjacula sur mon dos, m’arrosant jusqu’aux épaules de son sperme brulant.
Mon mari vint alors à ma rencontre, me félicita à l’oreille de ma splendide prestation, m’embrassa amoureusement et me nettoya le dos, le sexe et les fesses avec un mouchoir. Je lui avouais que je ne savais pas ce qui m’arrivait ce soir, que je n’avais jamais accepté de me donner à un inconnu et qu’aujourd’hui il y avait déjà quatre hommes qui m’avaient baisée et que j’en avais encore envie ! Il me dit qu’il avait peut-être une idée de ce qui provoquait en moi de cette faim de sexe mais qu’il me l’expliquerait le lendemain.
En attendant, lentement il me fit tourner autour de la barre métallique à laquelle j’étais toujours attachée, je la tenais de mes mains pour garder l’équilibre, j’étais cambrée, les fesses bien en arrière les jambes écartées, les chevilles toujours menottées à la barre d’écartement, le sexe et l’anus ouverts comme une invitation. Lorsque je fus ainsi bien exposée vers le bar, il m’asséna une claque mémorable sur les fesses et me souhaita de passer une bonne fin de soirée.
Autant vous dire que les trois gars que j’avais précédemment aguichés au bar n’avaient manqué aucune miette de l’exhibition que je venais de donner et qu’ils avaient désormais une superbe vue sur mon intimité exposée dans leur direction. En tournant la tête je les vis s’approcher de moi avec, tous, un grand sourire aux lèvres.
Arrivés près de moi, ils se sont empressés de me caresser, qui de mes seins, qui de mes fesses, qui de mes jambes, qui de ma chatte, qui de tout le reste. C’était très excitant de me faire câliner, par trois hommes, sans aucune pudeur, totalement ouverte et offerte, devant un public acquis et désormais attentif à tous mes ébats. J’étais la vedette d’un show érotique donné devant des dizaines de personnes. Jamais je ne me serai cru capable d’une telle exhibition. Rapidement leurs caresses, douces au départ, sont devenues plus rugueuses et plus intrusives. Je sentais leurs doigts dans tous mes orifices. Ma bouche, mon sexe et mon anus étaient devenus leurs terrains de jeux. Ils s’amusaient à pincer les tétons et à me les mordiller, à me martyriser le clitoris, le pinçant fortement entre deux doigts, s’amusaient à m’écarter au maximum les petites lèvres pour pouvoir introduire plus de phalanges dans mon sexe, s’amusaient à me lécher l’anus afin de pouvoir le pénétrer avec deux ou trois doigts, enfin s’amusaient à me demander de sucer leurs doigts qu’ils glissaient dans ma bouche à défaut de leurs queues compte tenu de la position dans laquelle j’étais. C’était très puissant, très pornographique même, mais j’avais soif de sexe et je jouis encore une fois très intensément.
Constatant d’après mes convulsions de plaisir, que je venais de prendre mon pied, ils stoppèrent leurs caresses et me dirent que désormais ils allaient me baiser, comme une chienne que j’étais, tous les trois et qu’ensuite seulement ils allaient me punir pour les avoir humiliés précédemment au bar. Ils n’avaient pas oublié la façon avec laquelle je les avais éconduits après les avoir bien excités.
C’est à ce moment qu’ils me forcèrent à plier les jambes, me firent reposer au sol sur les genoux et les coudes, les mains et les chevilles toujours attachées, la croupe bien relevée en arrière, les jambes grandes ouvertes. Le premier me présenta son sexe au niveau de la bouche et je l’avalais avec envie tant j’attendais ce moment. Un autre se positionna au-dessus de moi, s’accroupit et d’un coup commença à me sodomiser, je sentis son sexe entrer en moi très facilement, jamais mon cul n’avait été autant défoncé et je ne pensais qu’il pourrait m’apporter un tel plaisir. Le mec était à la fois sur mon dos et en moi, laissant le champ libre à son ami de découvrir la douceur et la chaleur de mon vagin en me pénétrant la chatte, c’était la cinquième fois ce soir qu’un homme me baisait. Ils semblaient avoir l’habitude de pratiquer cette position ensemble, tant leur mise en action fut précise. J’étais possédée, pour la première fois, par tous les orifices et c’était un délice. J’étais loin de supposer le plaisir que cette position pourrait provoquer. J’étais l’amante de trois hommes simultanément, capable de leur apporter du plaisir à tous les trois et j’en retirais comme un sentiment de supériorité : trois hommes rien que pour moi ! J’étais remplie avec leurs queues, ils allaient et venaient en moi m’arrachant des râles de plaisir incontrôlés tellement le plaisir était intense. J’étais secouée par des spasmes qui contractaient et relâchaient les muscles de mon vagin et de mon anus, et à chaque contraction je sentais mes amants se retenir. Ces spasmes, qui durérent quelques longues minutes, remontaient jusqu’à ma bouche et j’avais beaucoup de mal à ne pas mordre le sexe de mon amant d’un soir. En le regardant droit dans les yeux, je le voyais résister également pour ne pas éjaculer. J’imaginais le spectacle qu’il devait voir : moi à quatre pattes au sol, soumise, menottée, le suçant et ses deux amis me défonçant littéralement le sexe et l’anus, provoquant en moi des râles de plaisir. A ce moment précis, un orgasme violent me secoua, je tremblais de tout mon corps, prise dans une sorte de convulsion. Mes trois hommes ne purent résister et éjaculèrent presque simultanément sur mon dos en me gratifiant d’une douche de sperme extraordinaire. Je les entendis hurler de plaisir tant leurs jouissances étaient puissantes. Je sentais leur semence brûlante sur mes fesses, ma chute de reins, mes épaules et c’était délicieux. Autant de sperme pour moi seule !
Ils reprirent rapidement leurs esprits et comme ils avaient vu que j’aimais être propre après l’amour, soigneusement, ils entreprirent de nettoyer toutes les parties de mon corps qui avaient été souillées par leur sperme. J’appréciai particulièrement le contact de leurs mouchoirs qui me parcouraient les lèvres et les petites lèvres, s’immisçaient à l’intérieur pour bien tout essuyer, frôlaient mon clitoris, le décapuchonnaient pour bien l’astiquer, glissaient dans ma vulve, entraient doucement dans mon anus avec un doigt pour tout enlever. Ils étaient très méticuleux et faisaient cela avec beaucoup d’attention et de précision, c’était exquis. Après les coups de butoir que je venais de subir, cet instant de douceur était le bienvenu.
Après en avoir fini, ils me relevèrent. Les mains toujours menottées, un des hommes enleva sa ceinture et s’en servit pour m’attacher solidement les mains à la barre de pole dance, les bras hauts levés et la croupe en arrière, de façon à ce que je ne pouvais plus bouger les bras et compte tenu du fait que mes chevilles étaient toujours fixées à la barre d’écartement, je ne pouvais plus esquisser le moindre mouvement. « Tu as pris ton pied ? », me dirent-ils, « Et bien maintenant tu vas payer pour ce que tu nous as fait en début de soirée et pour les affronts que tu as nous fait subir ».
Je me demandais réellement ce qu’ils allaient bien pouvoir me faire, mais je me disais qu’après s’être vidés il y a quelques minutes seulement, ils ne pourraient plus profiter de mon corps, au moins le temps pour eux de récupérer ! Je regardais encore une fois autour de moi et constatais que le public était ravi du spectacle que je donnais en exclusivité pour eux cette nuit. Ils pouvaient encore m’admirer nue, dans une position de soumission totale, le sexe pointé dans leur direction, prête à me faire punir par mes futurs tortionnaires.
Je sentis à cet instant précis une caresse différente des autres sur mes fesses, je me retournais et je vis qu’un des mes amants d’un soir avait également enlevé sa ceinture et s’en servait pour frôler délicatement la douce peau de mon cul. Il la promenait doucement à l’intérieur de mes cuisses, la remontant vers mon sexe, écartant mes lèvres avec, et finissant en me taquinant légèrement l’anus. Ensuite il la fit glisser sur mon dos pour terminer en me caressant les seins et les tétons, c’était très agréable.
Mais d’un coup sec il la fit claquer sur mon dos comme un fouet et il recommença aussitôt encore plus fort sur les fesses. Je sentis la chaleur provoquée par ce coup me brûler la peau. C’était douloureux et très intense. Paradoxalement j’en retirais un certain plaisir mêlé d’excitation. Il continua de plus belle sur ma croupe en m’assenant des coups de plus en plus puissants. Je me tordais de douleur ne pouvant presque pas bouger et devant subir ses attaques sans pouvoir me protéger. Mes fesses étaient en feu mais au fond de moi j’en demandais encore. J’eus un instant de répit quand il décida de me pincer les tétons fortement pour les faire darder au maximum, mais tout de suite après il entreprit cette fois-ci de me fouetter les seins, moins fortement que les fesses, mais assez violemment pour m’arracher des cris de douleur. Je pouvais voir mes bouts de seins, rouge vif, pointer comme jamais. Je voyais la marque de la ceinture sur ma poitrine et il recommença de plus belle, je crus m’évanouir tant la souffrance était forte. Ma poitrine était devenue un véritable brasier qui se consumait en moi. J’entendais le claquement de sa ceinture sur moi et à chaque fois ensuite la douleur qui me prenait les seins.
Enfin il s’arrêta, les trois hommes me caressèrent alors très doucement partout où la ceinture m’avait meurtrie. Le fait que la douleur s’atténuait, ces effleurements provoquaient en moi des ondes de plaisir. Jamais je n’avais ressenti une telle sensation. Mais brusquement j’ai ressenti comme une décharge électrique au niveau de la chatte : je venais de recevoir un violent coup de ceinture entre les jambes. Il avait mis beaucoup de force pour me fouetter le sexe et j’en fus totalement déstabilisée, si je n’étais pas tenue par les mains à la barre de pole dance je pense que je serais tombée au sol. Il recommença aussitôt, encore plus fort, puis une troisième fois, c’était à la limite de l’insoutenable. Il me pénétra avec trois doigts peut être pour s’assurer que je mouillais sous ses coups de ceinture et effectivement en me les montrant j’ai constaté que j’étais réellement trempée. Ça le motiva pour reprendre son entreprise de destruction de mon sexe et j’eus droit à trois nouveaux coups très violents. N’en pouvant plus, me débattant de tout mon corps, me tortillant frénétiquement à chaque coup sous l’effet de la douleur, je finis par le supplier d’arrêter. Il comprit qu’il ne fallait pas aller plus loin, il m’asséna un dernier coup de ceinture encore plus violent que les autres et remit enfin sa ceinture sur son pantalon. Ma punition semblait être finie. Mon sexe était en feu, je ne pouvais pas le voir mais je supposai qu’il devait être rouge cramoisi.
C’est alors que mon bourreau alla parler aux clients du club, leur disant qu’ils venaient de me mettre le feu aux fesses et au sexe et leur demanda si certains souhaitaient me baiser pour éteindre cet incendie. Comme à l’école de nombreux doigts se levèrent, beaucoup étaient intéressés. Il leur dit alors : « Pour ceux qui sont intéressés par le sexe de Madame, veuillez enlever votre pantalon et enfiler un préservatif. Mes amis et moi, allons vous apporter Madame, pieds et mains liées, comme dans un fauteuil afin que vous puissiez la prendre dans la position de la chaise. Vous n’aurez rien à faire, nous allons la porter jusqu’à vous et la faire s’empaler sur vos sexes. Nous la ferons monter et descendre le long de vos queues pour un plaisir partagé entre elle et vous. Nous espérons que vous allez apprécier la baiser comme elle le mérite. Mais ne jouissez pas car quand vous aurez tous goûté à sa chatte, nous l’allongerons au sol et tous vous éjaculerez sur elle. Nous voulons la voir ruisselante de sperme car c’est tout ce qu’elle mérite ». Je regardais le public et je vis de nombreux clients se déshabiller et se préparer à me baiser. A deux, ils me saisirent sous les jambes et sous les aisselles, me levèrent en position presque assise, le sexe bien en arrière et ils m’amenèrent près du premier client. Ils me présentèrent dos à lui et me déposèrent doucement sur son sexe, le mec positionna sa queue à l’entrée de ma chatte et les deux amis me firent alors descendre. Je sentis cette queue entrer en moi. Je ne voyais même pas le gars, je n’avais même jamais parlé avec lui et là il me baisait comme une pute qu’il devait penser que j’étais. Mais c’était jouissif d’être ainsi l’objet d’excitation unique de tous ces mâles qui n’attendaient qu’une chose : me baiser et jouir sur moi. Ils me faisaient monter et descendre le long de ce membre viril et j’avoue que c’était très agréable de n’avoir rien à faire que de sentir une queue m’apporter du plaisir sans effort ! Après un temps indéterminé mais assez long pour que je ressente un petit orgasme, ils me portèrent vers un nouveau client et procédèrent de même, me déposant sur son sexe et ainsi de suite pendant de longues minutes, passant de sexe en sexe, tel un sex-toy vivant. Je ne sais même pas combien ont profité de ma chatte pendant cet exercice, mais je dirai au moins une bonne dizaine. Mon minou n’en pouvait plus !! Mais il était tellement lubrifié que je ne ressentais aucune douleur alors que les coups de ceinture, eux, étaient encore bien présents.
Quand le client dernier en eut fini avec moi, mes trois meilleurs amis me rattachèrent à la barre de pole dance et m’allongèrent dos au sol en demandant à tous ceux qui m’avaient baisée de bien vouloir se vider sur moi. Je les vis tous se rapprocher et m’encercler. Je pense qu’il devait y avoir beaucoup d’autres clients tant ils semblaient être nombreux. Je voyais tous ces mecs se branler devant moi et je me sentais honorée et fière du plaisir que j’allais leur procurer. Le premier jouit rapidement et je sentis son sperme m’asperger le visage et les cheveux, et ensuite pendant plusieurs minutes, ce fut comme un torrent de sperme qui se déversa sur moi. Je voyais tout ce sperme gicler de leurs queues par saccades venir s’écraser sur ma peau. Mon corps fut, très vite, presque intégralement recouvert de sperme. Mon visage, mes seins et ma chatte furent leurs cibles favorites. J’avais du sperme dans les cheveux, dans les yeux, les oreilles, la bouche évidemment, je pouvais en boire à pleines gorgées. Mon sexe dégoulinait de sperme et je le sentais couler dans mon anus. Il n’y avait pas un centimètre carré de ma peau qui n’était pas recouverte de foutre.
Quand le dernier eut éjaculé sur moi, mes trois « bourreaux » me relevèrent, en faisant bien attention de ne pas se souiller avec le sperme qui me recouvrait. Ils appelèrent mes amies pour leur demander de me démenotter. Elles me libérèrent de mes liens en me traitant de trainée, de piège à foutre mais j’étais de nouveau enfin libre de mes mouvements. Je m’empressais de rejoindre la salle de bain pour me doucher, en marchant devant tout le monde, nue, sans aucune pudeur, totalement maculée de sperme, je le sentais dégouliner sur mes jambes, mes pieds et sur les semelles de mes chaussures. J’avais du mal à voir devant moi tant il descendait dans mes yeux. Sous la douche je sentis des douleurs de brûlure dues aux coups de ceinture que j’avais reçu et je sentis au niveau de ma chatte et de mon anus des picotements, certainement dus au fait que je venais de me faire baiser par une vingtaine de mecs bien membrés. Je me demandais encore comment j’avais pu accepter de me faire prendre par autant d’inconnus alors que je n’avais jamais franchi le pas précédemment.
En rejoignant mon époux, celui-ci me tendit ma robe me demandant si je souhaitais poursuivre mon exhibition ou si préférais désormais m’occuper de lui. Je lui avouais que j’étais fatiguée et que je préférais rentrer chez nous. C’est ainsi que se termina cette fabuleuse soirée qui restera gravée dans mon mémoire pour mon éternité. Pour information, ce n’est que le lendemain que mon mari m’a appris qu’il avait mis des poppers dans ma coupe de champagne, et qu’il avait peut-être un peu exagéré sur la dose… je le remerciais de m’avoir fait vivre une telle expérience en espérant que je pourrai en vivre encore plein d’autres.